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Tini dans Gente : partie 5

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Bonsoir ! Découvrez la dernière partie de l’interview de Tini pour Gente traduite par Maria et moi :

4 – Le corps

Une chose l’obsède durant le shooting. « Je ne veux pas me voir aussi mince, svp », a-t-elle demandé en vérifiant l’affichage de l’appareil photos. Paradoxe dans cette industrie. « Je suis très mince, par la génétique de ma famille. Mais on m’a beaucoup attaquée sur les réseaux sociaux pour cela (note : une fausse rumeur courrait sur une hospitalisation pour des troubles alimentaires), donc je préfère me préserver. Beaucoup de filles verront ses photos et je ne veux pas donner un mauvais message. » Montre-t-elle un complexe ? « Des fois, je vois les vêtements de mes amies et je dis : « Si j’étais plus «sexy», qu’est-ce que je serais mieux ! Cela est tout. Ah.. et le nombril, que j’ai tant caché et j’ai appris à le montrer », révèle-t-elle.

Elle est « une mangeuse fatale » comme elle se proclame – une fanatique du sushi Nobu – la chaîne de restaurants de Robert De Niro – et des toasts noirs avec graisse et confiture – qu’elle a l’habitude de manger dans Seven-Eleven-, elle a une loi : « Interdit de sauter l’un des quatre repas quotidiens. »
(Tini explique aussi qu’elle fait de la gym et du yoga.)

Oui, c’est efficace devant l’objectif, mais la sensualité est toujours un jeu sans trop de contrôle : « La pose ne me met pas à l’aise. Je n’y crois pas en le sexy provoqué ».

Loin des maxi-plates-formes et du maquillage strident – « que j’ai déjà surpassé » – Martina – A qui sa maman ne lui a pas permis de porter une veste en cuir jusqu’à ses 18 ans – a fait son chemin sur un tapis rouge inédit : celui de la mode. « Apparemment, tout à coup je me suis convertie en femme et les autres s’en sont rendus compte, en premier », Elle est l’élue de Valentino et le nouveau visage de la marque Cher, deux firmes qui l’accompagnent dans cette transition.

5- L’amour

« Oh, voici le titre » , elle plaisante en écoutant – Est-tu amoureuse ? – Si …. – elle répond, prudente. « Tu es toujours ainsi, très amoureuse au début, dans l’étape où l’on apprend à se connaître. Mais oui, j’ai ouvert mon cœur à Pepe et je veux aller lentement, parce qu’il me plaît beaucoup ». L’Espagnol Pepe Barroso Silva et Martina se sont connus en mai. Ce fut elle qui l’a choisi parmi des dizaines de modèles.

« On choisissait un protagoniste pour mon clip Great Escape (de Phillip Andelman, le même directeur que Demi Lovato, Jonas Brothers et Taylor Swift, entre beaucoup d’autres) », nous raconte-t-elle. « Lorsque je l’ai vu, j’ai dit : il est parfait » Quelques jours plus tard, il est venu à Buenos Aires.

« C’était l’unique étranger dans une équipe d’argentins. Comme l’hôte, j’ai été son guide : ‘ c’est l’avenue les Courants, c’est l’Obélisque » nous raconte-t-elle avec étincelle.  » tout a été très professionnel! Je l’ai choisi parce que c’est un bonbon, un poulain… Mais jusqu’à ce moment, sans aucune autre intention. Je ne me suis jamais attachée à quelqu’un au travail ».

C’étaient les soixante-douze heures dans lesquelles nous nous sommes très bien entendus. Mais il a dû retourner à Los Angeles. Et comme nous nous rendions compte que l’on avait ressenti quelque chose – des heures de Watsap et de Facetime, où nous trouvions des petits trous pour nous voir chaque fois que nous étions dans des villes distinctes, au cours de voyages qui ont suivis. » révèle Tini. Un thé a officié le premier rendez-vous.

« Je dois connaître ce garçon, savoir ce qu’il pense, ce qu’il veut. Nous avons parlé des heures. Et Pepe m’a surpris. Il a une forte vocation et une façon de voir la vie très différente des autres garçons de notre génération. Tout le temps était: (avec soupir) ‘Oh, ouais? Je pense que la même chose … ». Je l’ai vu mature, concentré et très gentleman.  »

Problème: l’amour à distance :
« J’adore! Cela m’amuse, car cela rend la rencontre spéciale. C’est toujours comme la première rencontre. Et s’étonner à 20 ans est génial », décrit-elle. » D’être passé, des messages, du désir, de l’attente, cela est magique. Quelque chose que je ne vois pas dans les relations de mes amies, qui sont si collées, presque qui vivent ensemble avec leurs copains…

Je ne me vois pas dans une relation conjugale à cet âge! « . Bien qu’il y a déjà eu une présentation formelle.
J’ai rencontré ses parents – le magnat textile José Barroso, le maître de Don Algodón, et Mónica Silva–à Madrid. Ils sont divins!. Et le 4 Septembre, ce sera Pepe qui fera face au Stoessel. «Je cherche, la confiance dans un homme. »

Comment est Tini amoureuse ?

Très détendue, obsessionnelle, aimante et drôle. En petite-amie je suis comme avec mes amis: zéro produit, honnête et en pantoufles. Oui, je peux être exigeante sur certaines choses, parce que, malgré mes 19 ans, je suis très traditionnelle. Aucun succès ne va me distraire du grand rêve : me marier. Fonder une famille est une priorité dans ma vie. Tant je me dis, que si un homme me disait qu’il ne croit pas en le mariage … aï, nous commençons mal! »

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