Bonjour ! Découvrez les photos du photoshoot de Martina pour Diario Perfil et une partie de son interview :




Après tant de shows, plus de 400, les CD, les saisons de Violeta, le cinéma t’a donné peur ? C’était bien d’avoir peur d’un autre côté ?
M.S : Oui. Ce fût comme un défi. C’est bien de vivre avec un défi, surtout si ce que tu cherches est le bonheur et que cela te rend heureux. J’avais l’habitude de tourner 17 scènes par jour et je suis arrivée et nous avions 12 heures pour filmer 2 scènes. Tout ce que j’ai appris ces années, je l’ai mis en pratique au cinéma.Le cinéma représente-t-il un grand saut ? Est-ce un autre niveau en considérant tout ce que tu as déjà vécu ?
M.S : Je suis toujours inconsciente de ce qui s’est passé. Et je le dis dans le meilleur sens du mot. Je prends les choses avec tranquillité et naturellement. Et je ne le prends pas comme quelque chose d’aussi « wow ». Aller à Madrid, Paris, en Hollande, et le voir doublé en 84 langues. Ça oui ce fût un shock.Comment définirais-tu cette étape qui se ferme ?
M.S : Comme une étape de croissance, de maturité, de me connaître moi. Car Violetta, pas le personnage, le projet de moi… évidemment j’avais une éducation précédente, mais de 14 ans à 19 ans, tu as une formation de personnalité, tu définis tout. J’ai grandis avec Violetta, le projet. Pour moi, ce fût le collège. Celui que j’ai arrêté et je l’ai fait par internet. Violetta était mon collège, mon école. Ce fût une étape totale et absolue de savoir qui je suis, qu’est-ce que j’aime, de me former professionnellement.
Average Rating