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+ Découvrez la première partie de la traduction de l’interview par Caras
C’est derrière elle l’adolescente avec la peur, l’incertitude et les attentes, elle a commencé à passer sur les plateaux de télévision.
Aujourd’hui, Martina « Tini » Stoessel est posée, confiante et une femme au vrai sens du terme.
Mais malgré le temps écoulé, et le succès qui l’ont placée comme figure internationale indiscutée sur toute la planète, elle continue de rester elle-même, et continue de maintenir son sourire adolescent et son regard cristallin.
Loin d’être positionnée comme une Superstar, elle nous parle avec la franchise qui la caractérise et que Caras a reçu dans la suite présidentielle de l’Hôtel Alvear, pour parler de son présent et le nouveau pari professionnel qui finit de concrétiser : la sortie du premier long métrage qui signifie ses débuts sur le grand écran, a le privilège que le titre du film porte son nom.
« Avec Tini : La nouvelle vie de Violetta, je peux vous assurer que je possède un nouveau rêve accompli, »
« Je pensais que j’aller trouver quelque chose de similaire à ce qu’étaient les enregistrements pour Violetta, mais j’ai été surprise, car c’est totalement différent. Les temps sont différents pour chaque scène et chaque zone a un engagement très intensif. Nous faisions une scène par heure par jour, on arrivait à 12 heures. C’était un travail intense »
« C’était une expérience magique et j’ai artistiquement pu m’impliquer puisque Juan Paul Buscarini est un directeur impressionnant qui m’a permis de participer à tout et il m’a donné une liberté absolue et une sécurité pour me développer. Il m’a fait sentir à l’aise à chaque moment et les corrections, il me les faisait depuis un lieu de grande humilité et de chaleur. Avec lui, tout est devenu plus facile »
