Bonsoir ! Retrouvez l’interview de Tini pour le journal colombien El Tiempo :
« Il y a des années, la scène latino-américaine était dominée par les argentins Charly García, Fito Páez, Gustavo Cerati et toute la vague du rock en espagnol. » Tini explique qu’après ce moment d’or, une ère est arrivée où la radio du continent a été presque monopolisée par le reggaeton de Porto Rico.
« Je suis heureuse d’avoir partagé avec Khea, un artiste argentin qui a beaucoup contribué à la chanson. Cela lui a donné un caractère plus street. C’est l’une des chansons les plus sensuelles que j’ai jamais faites, non seulement à cause des paroles de la chanson et du rythme, mais à cause de la façon dont j’agis dans le clip vidéo. »
« Peut-être que c’est plus adulte, mais c’est parce que je suis née pour le faire comme ça, pas parce que ça fait partie d’une stratégie ou quelque chose comme ça. »« J’ai enregistré avec de nombreux artistes colombiens, mais ce n’est pas comme si j’avais l’intention d’avoir un public international, ou quelque chose comme ça. Le truc, c’est que j’aime collaborer, j’aime mélanger ma musique avec les autres et voir qu’ils peuvent contribuer les uns aux autres. Et bien, c’est arrivé naturellement. Avec Greeicy, nous avons parlé sur Instagram bien avant « 22 », la chanson que nous avons ensemble, et nous nous sommes super bien entendues. Des histoires similaires ont passé avec le reste des artistes. »
« Ma voix est bien plus proche de la pop qu’autre chose. Ma façon de chanter ressemble plus à la ballade, qui est mon école, qu’au reggaeton traditionnel. »
« Mon expérience chez Violetta a fondamentalement changé ma vie sur tous les fronts. J’avais encore beaucoup de choses là-bas et des portes m’ont été ouvertes. De plus, jouer m’intéresse toujours. »
+ Je vous ai ajouté des photos HQ de Tini lors d’un ancien photoshoot pour Pantene.
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