Bonjour ! Je vous souhaite à tous une très bonne année & je souhaite à Martina plein de bonnes chose pour elle. J’espère que cette année vous et lui apportera beaucoup de bonheur. Car 2015 sera l’année de Violetta & de Martina.
+ Pour démarrer cette nouvelle année, découvrez la 4e partie de l’interview de Tini pour La Nación :
Tu es en train de vivre tes 17 ans à fond. As-tu obtenu le permis ?
« Oui, je suis heureuse. Papa, j’y vais[Tini fait un petit sketch]. Je prends les clés de la voiture et je suis prête, je ne dois plus attendre qu’ils m’emmènent. Oui, je bouge avec mon GPS. [rires] »
Ta voiture ou la voiture de Papa ?
« La mienne. Au début, je la manipulais avec beaucoup de peur, mais maintenant j’ai pris l’habitude. J’apprécie. »
As-tu abandonné l’idée de continuer la création de mode ?
« J’aime cela. Je continue à faire des dessins. C’est une chose que j’aime énormément. »
A un certain moment, il s’est dit que tu allais lancer ta propre ligne de vêtements.
– « Nous lancerons probablement la ligne de vêtements de Martina un peu plus tard » – dit le père de Tini
– « Je vais aller au « Unicenter » (centre commercial) pour chercher les vêtements pour la production de photos », conte Tini, avec sa capelina (chapeau), à ses parents. Ils la regardent en se disant : ainsi elle va attirer l’attention [avec son look coloré]. « Je vais, j’entre et je sors », dit Tini avec le ton de n’importe quelle fille de 17 ans. « Je ne veux pas arrêter de mettre ce que j’aime pour devoir passer inaperçue. S’ils me voient, ils me voient. »
– « Ma chérie, tu l’as choisi. » dit Alejandro. « Tu as rêvé de tout ça. Depuis que tu as commencé à parler de devenir célèbre, de signer des autographes. « Es-tu sûre, ma chérie, de ce que tu veux ?, je lui avais demandé » dit le père de Tini.
Martina le regarde, sourit et lui dit : « Le rêve s’est réalisé. »
